« Faire un film, c’est changer le monde. Même si rien ne change. » MIYAZAKI HAYAO
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend hommage aujourd’hui hommage à l’actrice Nakayama Miho (1970-2024). Partager Suivre
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd'hui ses impressions sur les éditions 2024 du TIFF (Tokyo International Film Festival) qui s'est tenu du 28 octobre au 6 novembre et de Tokyo FilmeX (23 novembre - 1er décembre).
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses impressions sur ses dernières lectures : Eco-Disasters in Japanese Cinema, sous le direction de Rachel DiNitto et […]
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Dans la continuité de son hommage à Tanaka Atsuko, il livre ses réflexions la nouvelle série animée de la saga Terminator, ses liens avec l'univers de Ghost In The Shell, et s'entretient avec l'actrice qui a prêté sa voix des années durant au major Motoko Kusanagi.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend ici hommage à Tanaka Atsuko, qui nous a quitté le 20 août dernier.